« les jeunes, la foi et le discernement vocationnel » « Nous veillons à ce que les signes liturgiques évitent le formalisme, mais soient beaux et simples… Il manque dans l’Église des accompagnateurs : est-ce qu’un ministère d’écoute pourrait être confié, non seulement aux prêtres, aux religieux et religieuses, mais aussi à des laïcs, hommes et femmes ?... À Taizé, les jeunes découvrent aussi que l’Église est communion. Sans créer un mouvement organisé, nous renvoyons toujours les jeunes vers leurs paroisses et leurs lieux de vie. Tant d’entre eux aiment prier ensemble avec des jeunes de diverses confessions. Ils comprennent, ne serait-ce qu’implicitement, l’appel du Christ à nous réconcilier sans retard…. Le document final ne pourrait-il pas être accompagné d’une courte lettre, rédigée dans un style simple, adressée à un jeune qui cherche un sens à sa vie ? »